Toujours pleines de monde, les rues de New Perri représentent l'activité de cette ville touristique où la haute société s'implante petit à petit, de plus en plus vite. En six ans à peine, les grands magasins se sont multipliés, rendent la vie difficile aux petites commerçants. Les habitants adorent, ou du moins, ceux qui peuvent se permettre de dépenser des centaines de dollars ne serait-ce que pour un sac ! Les autres ... ils traînent souvent dans les bars, installés dans les petites ruelles, loin de la richesse de tous ces nouveaux arrivants.

Si vous avez envie de vous amuser, d'oublier un peu le quotidien et tous les problèmes qui vont avec, c'est dans cette partie de la ville qu'il faut vous rendre. La piscine pour se détendre, le bowling pour s'amuser, la discothèque pour danser, les terrains pour se défouler ... n'hésitez pas à venir vous ressourcer. Mais attention à ne pas non plus fourrez votre nez là où il ne le faudrait pas ; les choses pourraient finir par mal tourner ...

Le lycée Barbara Woods est le seul de New Perri. Les pauvres et les richesn'ont donc aucun moyen de s'éviter. Un calvaire pour ces adolescents qui vivent avec peu d'argent comme pour ceux qui sont habitués au luxe. Comment font-ils pour supporter une telle promiscuité durant cinq jours de la semaine ? Ils ne supportent pas. Mais attention à ceux qui dépassent trop les bornes ... ils risqueraient de se retrouver à l'Institut Hurston assez rapidement ....

L'université Harry Spelzman existe depuis seulement quelques années, mais elle a déjà une réputation digne des plus grandes université telles que Princeton, Yale ou encore Brown. De nombreux jeunes se bousculent pour obtenir une place ...

Depuis l'arrivée de la haute société dans les environs, New Perri est divisée en trois grandes parties. D'un côté, les plus riches, résidants un peu à l'écart du centre ville, dans d'immenses villas, neuves pour la plupart, et de l'autre, les habitants les plus pauvres de la ville, ceux qui habitent dans des petits appartements miteux, dans les petites ruelles sombres. Et au milieu, situés dans le centre, ou à l'extérieur de la ville, dans de grands lotissements, résident ceux qu'on ne peut considérer ni comme riches, ni comme pauvres ; les gens normaux quoi. Enfin ... normaux ... qui peut se permettre de définir la normalité !?