Adriana Jenny Parker.
Amber Heard
> PRISE

19 ans
Fêtarde - Narcissique - Manipulatrice - Garce - Naïve

Adriana Jenny Parker, c'est ainsi que ses parents l'appellèrent. Ils étaient assez riche, ce qui fait que la jeune fille ne manquait de rien. Et pourtant, elle en demandait toujours plus. Etant fille unique, ses parents ne lui refusaient rien, pas même une petite poupée à plus de mille dollars. Dès son plus jeune âge elle ne fut pas vraiment apprécié ou presque ... Les filles étaient plus jalouses qu'autre chose alors que les garçons, eux, bavaient lorqu'elle leur passait devant. Les seules filles qui l'appréciaent étaient Laura et Sandra deux petites pestes prétentieuses et arrogantes. A elles trois, elles formaient le Trio Infernal. Elles se sont très vite fait remarquer, que ce soit en primaire, au collège ou encore au lycée. Elles étaient toujours là pour emmerder le monde, toujours là pour faire souffrir les autres. Il y a de cela deux ans, Adriana était considéré de façon bien pire qu'une garce, et elle le méritait. Elle n'hésitait pas à faire du mal aux autres, toujours là pour rabaisser les plus faibles ou encore détruire des couples. Sa passion, c'était surtout de faire du charme aux jeunes hommes déjà pris par des filles qui selon elle, n'en valaient pas la peine. Disons que si il y avait un concours de pestes, elle aurait sans aucun doute reçue la médaille d'or. Ca ne lui posait pas problème de faire du mal aux gens, au contraire, elle s'en réjouissait. Tout cela pourquoi ? Sans doute par rapport à sa rupture avec l'homme qu'elle avait aimée. Elle en était folle amoureuse. Ils étaient ensemble depuis plus de deux ans et ce fut lors de l'arrivée d'une nouvelle élève, plutôt bien foutu, il fallait l'avouer, qui prit - en quelques sortes - la place de la belle. Depuis elle ne fait que se venger. Mais elle ne s'est jamais dit que la plupart des filles n'y étaient pour rien. A ses yeux, elles sont toutes coupables, c'est pourquoi elle n'en épargne aucune. Mais comment la jeune fille a-t-elle fait pour se retrouver à l'Institution Hurston ? C'est bien simple, Adriana fut envoyée dans cet internat par ses parents suite à une vidéo ayant fait le tour du lycée, sur laquelle il serait bon de signaler qu'elle n'était pas vraiment vêtue. A présent l'on peut dire que la jeune femme s'est calmée, ou presque. Changer n'est pas toujours facile même après deux ans dans un internat comme celui-ci ...

Sarah Natassia Sanders.
Sarah M. Gellar
> LIBRE

18 ans
Curieuse - Egoïste - Méprisante - Idépendante - Séductrice

Un petit bébé vint au monde une nuit d'automne, il y a de cela dix-neuf ans. Qui sont ses parents ? Elle n'en sait rien, et n'en a rien à faire. Ils l'ont laissée sur le seuil d'une maison, peu de temps après sa venue au monde. Ils connaissaient les personnes vivant là-bas, et savait que leur fille serait heureuse en leur compagnie. Pourquoi avaient-ils fait cela ? Tout simplement pour protéger leur seule et unique enfant. Ils étaient pauvres, c'est à peine s'ils avaient la possibilité de se nourrir convenablement. Ils avaient des problèmes d'argent, des dettes et pas vraiment de famille, c'est pour cela qu'ils avaient décider de laisser leur fille à leur voisins, sans qu'eux-même ne le sache. C'est après avoir fait ce geste qu'ils prirent la fuite. Ils savaient que leur fille seraient plus heureuse avec leurs amis. Peut être l'aurait-elle était encore plus avec eux, qui sait, mais dans tous les cas, elle était heureuse. Sarah était généralement appréciée de tout le monde, elle aimait ses parents qu'elle croyait biologique et n'avait pas vraiment de problème à l'école si ce n'est que ses notes n'étaient pratiquement jamais au-dessus de la moyenne. Ce fut lors de ses seize ans qu'elle apprit que Matt et Gabrielle n'étaient pas ses vrais parents. Elle lut la lettre que ses géniteurs avaient laissé pour elle, dans laquelle ils lui expliquaient les raisons de leur geste. Sarah ne chercha pas à comprendre ; elle prit la lettre, les larmes aux yeux, et la déchira avant de la jeter négligemment dans la poubelle. Pendant plus de trois jours, la jeune fille resta enfermée dans sa chambre. Elle ne comprenait pas comment ses parents avaient pu faire cela. Elle en était certaine, ils auraient très bien pu s'en sortir avec elle. Après tout, elle n'était pas si insupportable que ça ! Ils avaient fait cela pour elle, elle le savait, mais elle n'arrivait pas à l'accepter : elle les détestait, sans même les connaître. Une nuit, sur un coup de tête, Sarah décida de s'enfuir. Elle fourra quelques affaires dans un sac et quitta la maison, sans prévenir personne. Elle fut retrouvé deux jours plus tard par un policier, qui informa immédiatemment ses parents. Ils se précipitèrent au commissariat pour retrouver leur fille, mais elle n'était pas vraiment dans son état habituel. Disons que la jeune fille était ... légèrement défoncée. Matt et Gabrielle avait entendu parler de l'Institution Hurston, et ne voyant pas d'autre solution à l'attitude de leur fille, ils décidèrent d'y envoyer Sarah ...

Samuel Tyson Scott.
Gaspard Ulliel
> LIBRE

18 ans
Solitaire - Hautain - Arrogant - Mystérieux - Impulsif

Samuel est née un beau jour d'été. Il grandit avec ses parents, dans un milieu plutôt aisé. Personne n'aurait pu imaginer que le magnifique petit garçon qu'il était alors deviendrait celui qu'il est aujourd'hui. Samuel était un enfant très sympathique, toujours à l'écoute de ses camarades et très généreux. Il vécut une enfance heureuse. Il avait tout ce qu'il voulait - sans pour autant que ses parents ne cèdent à tous ses caprices - et grandissait dans un contexte chaleureux, empli d'amour et de tendresse. Une enfance heureuse ... jusqu'à ce qu'un jour, ses parents perdirent la vie dans un accident de voiture alors qu'il avait tout juste dix ans. A partir de ce moment là, il fut envoyé dans un orphelinat où il rencontra des personnes peu fréquentables. Il ne tarda pas à suivre ses nouveaux amis dans la drogue et l'alcool, ce qui entraîna chez lui une attitude violente, que ce soit avec des jeunes de son âge ou des adultes. Il se foutait de tout ou du moins c'est ce qu'il montrait. Au fond de lui, il avait mal. Il souffrait d'un mal indescriptible, inguérisable, à peine atténuable. Mais il ne voulait pas songer à cette douleur qui lui avait fait verser des torrents de larmes ; il voulait juste oublier, enfouir, effacer ... Alors il se cachait derrière son masque d'agressivité, son comportement de « je m'en foutiste », son attitude de garçon sans coeur, amoureux de sa petite personne et complétement indifférent au sort des autres. Au début, il se sentait mal d'agir de la sorte, mais petit à petit, c'est devenu tellement normal qu'il ne se posait plus de questions. Après tout, il demandait juste à ne plus souffrir, alors si pour cela, il devait faire mal aux autres, et bien tant pis. Mais un jour, pour la seconde fois de son existence, son destin fut bouleversé. Alors qu'il aurait pu vivre une adolescence mouvementé, à traîner dans les rues, à boire de l'alcool, à consommer de la drogue, à se battre dès que quelque chose le contrariait ... un homme modifia la trajectoire de cet avenir incertain. Il était trois heures du matin, Samuel était complétement saoul. Il marchait dans la rue au bras d'une jeune fille qu'il venait de rencontrer dans un bar lorsqu'un gendarme l'intercepta. Etant loin d'avoir l'âge autorisé pour consommer de l'alcool, Samuel fut envoyé au commissariat. Là-bas, le jeune homme s'enfonça un peu plus lorsqu'il fit malencontreusement tomber un sachet de cocaïne par terre. L'orphelinat fut contacté, et après avoir pris conscience de la situation difficile dans laquelle le jeune homme avait grandit, le gendarme lui proposa d'intégrer l'Institution Hurston plutôt que de devoir être envoyé dans une maison de correction extrèmement sévère. Samuel accepta alors, et dans sa première année à l'Internat, il piqua de la morphine à l'infirmerie pour ensuite acheter de l'alcool en douce le week-end et les mercredis après-midi. Mais son parrain, qui était un ancien délinquant lui aussi arriva à le sortir de là et désormais, Samuel a bien l'intention de veiller une année supplémentaire sur son filleul et celui de ce dernier. Mais malgré ses bonnes résolutions et son flagrant changement de comportement, Samuel n'est pas devenu complètement calme même si ses rapports avec les autres se sont améliorés. Il montre encore une affection particulière pour l'alcool et la drogue, un amour qui le perdra peut être un jour ...

Ethan Ryan Wood.
Jensen Ackles
> LIBRE

19 ans
Attentionné - Amusant - Protecteur - Infidèle - Têtu

Petit dernier d'une famille de quatre enfants, Ethan est né en Arizona, à Phoenix. Il s'est souvent demandé ce qu'il avait fait pour que le mauvais sort ne cesse de s'acharner sur lui ; mais il a beau se pencher sur la question de plus en plus souvent, il ne trouve pas la moindre réponse. Peut être est-ce parce que les événements malheureux de la vie frappent au hasard. Après tout, le diable et l'ange de la mort sont-ils dotés de raison ? Eux qui ont tellement de travail, pourquoi ne décident-ils pas de faire une pause ? Bonne question ... dans tous les cas, si de temps en temps, ils leur arrivent d'être un peu fatigués, ce fameux 12 juillet 1997, ils étaient dans une forme olympique. En effet, c'est la vie de plus de deux cents personnes que la faucheuse emporta avec elle. Que s'est-il donc passé ? Un avion de La Korean Air Flight, de Séoul vers Guam s’est écrasé près de son aéroport de destination. Le rapport avec Ethan ? Son père, Joris. En voyage d'affaires, il était passager du vol ; il perdit la vie lorsque l'avion se crasha lors de l’atterrissage. Ce tragique accident bouleversa totalement la vie familiale des Wood. Joris avait certes, laissé derrière lui une somme colossale et possédait une assurance vie considérable, mais qui peut, ne serait-ce qu'imaginer, que l'argent est capable d'atténuer la souffrance causée par la perte d'un être cher ? Quelques personnes peut être, mais pas les membres de la famille Wood. Ethan, à peine âgé de 7 ans à cette époque, fut complétement bouleversé par la mort de son père. Pendant plusieurs mois, il se réfugia dans un profond mutisme ; les gens avaient beau faire, personne n'était capable de lui soutirer le moindre mot. Sa mère, anéhentie par la mort de son mari ne savait pas comment réagir face à l'attitude de son fils, mais que pouvait-elle faire ? Existe-t-il un remède face a une telle souffrance ? Si c'était le cas, ça se saurait ! Quoique ... il en existe bien un, mais le traitement est tellement long et parfois même, si peu efficace qu'on a rapidement envie de laisser tomber. Mais Ethan devait sûrement posséder une force de caractère et une forte envie de vivre puisqu'au bout du compte, il arriva au bout de sa guérison. Il lui reste cependant des marques de cette souffrance ; une affreuse cicatrice invisible à l'oeil nue, comparable à une énorme balafre au milieu de son coeur. Mais quelqu'un qui ne connait pas son histoire est incapable de déceler cette blessure en lui. Il paraît si heureux de vivre, qu'il est difficile de voir en lui un jeune homme torturé, blessé par le passé, par le sort que lui a réservé la vie. Parce que oui, la mort de son père n'est pas le seul malheur qui s'abatit sur la famille Wood. En effet, cinq ans après le décès de son père, alors qu'Ethan avait 12 ans, ce fut au tour de deux de ses frères de périr dans un accident de voiture ; après une fête un peu trop arrosée en boîte de nuit, ils décidèrent tous trois de rentrer chez eux. Le plus âgé, Aaron, prit le volant ; Nathan et Justin s'assirent à l'arrière. Alors qu'ils ne leur restaient que quelques mètres à parcourir pour arriver à la maison, Aaron perdit le contrôle du véhicule ; la voiture fonça dans un arbre. Nathan et Justin n'étaient pas attachés ; ils passèrent par dessus les sièges avant et finirent la tête dans le pare-brise : ils étaient morts sur le coup. Quant à Aaron, il ne s'envola pour un autre monde qu'après être resté en soin intensif pendant deux jours. Ethan ne s'entendait pas très bien avec ses frères, beaucoup plus âgés que lui, mais il n'en fut pas pour autant insensible à leur mort, au contraire. Alors qu'il avait réussi à continuer à avancer malgré l'absence de son père, il se sentait désormais totalement incapable de poursuivre sa route. Sans compter que deux mois plus tard, sa mère, tombée en dépression, fit une tentative de suicide ; cette dernière n'aboutit pas, mais Lora fut placée en hôpital psychiatrique ; on lui retira la garde d'Ethan et on lui interdit de revoir son fils excepté s'il le désirait ; mais Ethan ne le voulait pas, il ne voulait plus rien. On le mit dans une famille d'accueil. Il avait totalement perdu le goût de vivre. Il restait enfermé dans sa chambre toute la journée, dans son lit, où, les jours de beau temps, accoudé à la fenêtre de sa chambre, observant l'horizon qui s'étendait à perte de vue. Personne ne savait quoi faire pour lui. Et alors que tout le monde, sa famille d'accueil, les assistantes sociales ou encore ses amis commençait à perdre espoir, un beau jour, il se montra différent. Il venait d'avoir 17 ans. Il paraissait rêveur, presque souriant quand il se perdait dans ses pensées, il mangeait un peu plus qu'avant et avait cessé de se terrer dans sa chambre comme un animal dans son terrier ; petit à petit, une nouvelle carapace se formait autour de lui : ceux qui ne le connaissait pas n'étaient pas capable de déceler les souffrances qu'il avait enduré. Sa famille d'accueil ne comprenait pas d'où venait ce brusque changement, mais dans le fond, peu importait : l'essentiel était de voir un sourire sur le visage d'Ethan. Qui avait donc réussi à le faire renaître ? Une jeune fille. Particulièrement attachante. Ethan devint extrèmement proche d'elle, et petit à petit, il reprit goût à la vie. Il l'aimait comme on aime une soeur et c'était réciproque ; il n'y avait entre eux aucune ambiguité. Ethan avait perdu tous ceux qu'il aimait ; il avait bien l'intention de veiller sur elle, de deux ans sa cadette. Il était peut être un peu trop protecteur envers la jeune fille et ce fut sûrement cela qui poussa cette dernière à dépasser un peu les bornes. Un matin, en se réveillant, Ethan alluma son portable. Un nouveau message : elle ne viendrait plus au lycée. Le jeune homme s'informa auprès de tous les gens qui pouvaient avoir un renseignement sur le lieu où se trouvait désormais sa meilleure amie ; ce n'est qu'à force de persévérance qu'il apprit où on l'avait envoyé. Ainsi, un jour, il demanda à sa famille d'accueil avec qui il entretenait d'excellente relation, de l'envoyer à l'Institution Hurston. Pourquoi donc prendre une telle décision ? Et si cela concernait cette fille, sa meilleure amie ? Sans aucun doute, elle y est pour quelque chose. Mais est-ce vraiment une bonne idée de vouloir la suivre dans cet établissement pour jeunes à problèmes ?